Poème sur la mer
Fébrilement, l’immensité de la mer
A mes pieds se perd
En un remous de blanche écume
Et me confie ses amertumes.
Elle en a marre de son destin
De tous ces pêcheurs, ces marins,
Qui la considère
Comme une mégère, voire une adversaire.
Elle voudrait être plus tendre
Elle veut, à tous, se faire entendre
Comme une bonne mère
A l’écoute de ses enfants, à son cœur si chers.
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